LA PARACHAH : « VAETHHANNAN (j’implorai)

05/08/2017 00:40

LA PARACHAH : « VAETHHANNAN (j’implorai)
 
Shabbat 5 août 2017 Commentaire de 2011-14
 
Lectures :
 
Parachah : Dévariym /Deutéronome 3 :23 à 7 :11 Haftarah : YéshaYahou/Isaïe 40 :1-26 Bérith Hadachah : Romith/Romains 11
 
Rappel : les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yéshoua.
 
Résumé de la Parachah : 
 
Les territoires situés à l’Est du Jourdain sont conquis. Israël s’apprête à entrer en Kénaan. Notre Parachah commence par une supplique émouvante de Moshéh auprès d’Élohim. Moshéh rappelle l’importance de la mise en pratique des ordonnances d’Élohim. Il fait appel à l’obligation du souvenir des grands évènements qu’Israël a vécus depuis la sortie d’Égypte, et des éléments essentiels du rapport à Élohim. Le ton est soutenu et prophétique dans la prévention contre les déviations potentielles et le rappel des conditions de possession du pays promis. Les villes de refuge sont nommément désignées. Répétition des Dix Paroles et du contexte du Sinaï. Nouvelles exhortations et conditions de possession du territoire. Instante sollicitation à l’obéissance : le « Shéma Israël ». Ordre d’éradiquer les pratiques idolâtres des Kananéens et de chasser les habitants de Kénaan.
 
Extraordinaire et riche parachah dont le contenu mériterait de longs développements, nous nous limiterons à quelques commentaires. 
 
Dernières exhortations de celui qui part
 
Exhortations et lois réécrites après 38 ans de désert, pour la nouvelle génération qui s’apprête à pénétrer en Kénaan.
 
Moshéh sait que le Seigneur ne lui permettra pas d’entrer en Kénaan, ceci malgré sa supplique. Que de chemin parcouru et de temps passé depuis l’Égypte, que de problèmes Moshéh n’a-t-il pas dû surmonter : murmures, rébellion, fatigue !  Considérons tout le travail auquel il fut confronté en tant que serviteur dans la maison d’Élohim : il fut fidèle, patient, inlassable, correcteur, vigilant, législateur, prêt à s’exposer pour que le peuple ne meure pas. Lui qui a reçu les dix Paroles, lui qui parlait bouche à bouche avec une représentation de YHVH, géant d’obéissance, géant d’amour, géant de prières, il n’aura pas l’ultime privilège de faire pénétrer le peuple d’Israël dans le Royaume promis ! A vision humaine, nous dirions que c’est une histoire qui se termine sur une note regrettable et au regard de laquelle nous participerions à la supplique de Moshéh en disant « Seigneur laisse-le rentrer, en récompense du travail fidèlement accompli ». Il est à peu près certain que le Seigneur répondrait : « mes pensées ne sont pas vos pensées ». Car la décision du Tout Puissant ne se base pas uniquement sur un critère de simple discipline mais également sur d’autres éléments sans doute plus importants. Le grand mais humble Moshéh, qui a reçu toute la Torah pour la remettre à Israël, laissera pratiquement à Yéhoshoua (Josué) le soin d’introniser le peuple dans le Royaume. Dans des circonstances délicates, Moshéh aurait bien donné sa vie pour le peuple, mais seul le Fils qui sera appelé Yéshoua (corollaire de Yéhoshoua) pourra, Lui, donner sa vie pour le peuple, pour
 
que le peuple ne meure pas, mais au contraire qu’il accède à la vie éternelle. C’est ce Yéshoua, Messie et Fils d’Élohim, qui fera réellement et en vérité entrer tout le peuple dans le vrai et final Royaume d’Israël, celui d’Élohim. C’est aussi à cause de cette réalité, et pour pallier toute méprise sur la fonction et la personne de Moshéh, qu’il ne lui fut pas permis de « passer » en Kénaan, avec le peuple. Car :
 
« Et Moshéh, il a été fidèle dans toute la maison d’Élohim, comme serviteur, en témoignage de ce qui devait être dit ; mais le Messie l’est comme Fils sur sa maison ; et sa maison, c’est nous, pourvu que nous retenions ferme jusqu’à la fin la confiance et la gloire de l’espérance. » (Hé. 3:5-6 )
 
« Le disciple n’est pas plus que le Maître, ni le serviteur plus que son Seigneur. » (Mt. 10:24)
 
C’est à Celui à qui appartient la royauté que reviendra la responsabilité et l’honneur de faire entrer le peuple dans le Royaume. Cette vérité fut saluée prophétiquement à l’époque de Moshéh par la remise de cette mission à un homme d’Éphraïm nommé Yéhoshoua-Josué, préfigure de Yéshoua le Messie.
 
Cela suffit ! La sainteté a ses exigences
 
Certainement Moshéh avait atteint par grâce et fidélité un haut niveau de dignité et de proximité d’Élohim. Malgré cela, à Moshéh, qui Lui demandait à plusieurs reprises de le laisser pénétrer dans le Royaume, le Seigneur répondait : 
 
« Que je passe, je te prie, et que je voie ce bon pays qui est au-delà du Jourdain, cette bonne montagne, et le Liban. –Et hwhy fut irrité contre moi à cause de vous, et il ne m’écouta point ; et YHVH me dit, C’est assez, ne me parle plus de cette affaire. » (De. 3:25-26)
 
Par analogie, cet épisode nous transporte aux temps apostoliques, lorsque le serviteur Paul demandait en supplication d’être délivré d’une maladie. Le Seigneur lui répondait alors de la même manière :
 
« Car quand je voudrais me glorifier, je ne serais pas insensé, car je dirais la vérité ; mais je m’en abstiens, de peur que quelqu’un ne m’estime au–dessus de ce qu’il me voit être ou de ce qu’il a pu entendre dire de moi. Et afin que je ne m’enorgueillisse pas à cause de l’extraordinaire des révélations, il m’a été donné une écharde pour la chair, un ange de Satan pour me souffleter, afin que je ne m’enorgueillisse pas. A ce sujet j’ai supplié trois fois le Seigneur, afin qu’elle se retirât de moi ; et IL m’a dit, ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans l’infirmité. Je me glorifierai donc très volontiers plutôt dans mes infirmités, afin que la puissance du Messie demeure sur moi. » (2 Co. 12:6-9)
 
Qu’il s’agisse de Moshéh ou de Paul, le Seigneur, qui connait bien les cœurs et la dignité de ses serviteurs, leur répond : (nous paraphrasons pour approcher le sens de la pensée) : « Bons et fidèles et dignes serviteurs vous avez reçu beaucoup pour accomplir votre mission, et certainement plus que vos requêtes … Vos frustrations apparentes, sujet de vos demandes, ne sont rien en comparaison de ce que vous avez reçu de ma part ! Allez en paix dans ma gloire. »
 
La proximité du Très Haut, qui s’accompagne de dévoilements extraordinaires de vérité, requiert dignité, obéissance, humilité, tempérance, sobriété etc. Ce furent des qualités de Moshéh et de Paul. Mais au plus nous recevons, au plus nous sommes responsables, au plus nos actes et paroles prennent de l’importance à cause du témoignage, de la prophétie, et de la déférence sacrée à l’égard du Seigneur. Au plus nous recevons des valeurs supérieures du Royaume, au moins nous avons latitude à faire un pas de travers : un pas, un comportement qui serait un non-témoignage, une expression d’orgueil, de zèle amer, une parole téméraire issue de nous-même... Les destins hors du commun, comme ceux de Moshéh et de Paul.
 
seraient donc marqués de non favoritisme ; ceci est aussi justice et miséricorde de notre Père des cieux, Lui qui n’a pas épargné son Unique, mais qui Lui a réservé la gloire suprême.    Un Royaume d’ordonnances ?
 
Alors Moshéh exhortera avec empressement, avec beaucoup d’amour, ce peuple qu’il a chéri pendant de longues années. Moshéh semble, dans le livre de Dévariym/Deutéronome, se dépêcher de redonner toutes les instructions et les points de l’Histoire à mémoriser pour qu’Israël ne se perde pas, bien que Moshéh sache déjà que le peuple désobéirait. 
 
Il écrivait ainsi ce qui présenterait le principe même de la fidélité :
 
« Maintenant, Israël, écoute les lois et les ordonnances que je vous enseigne. Pour les pratiquer, afin que vous viviez, veniez et possédiez le pays que vous donne YHVH, l’Élohim de vos pères. Vous n’ajouterez rien à ce que je vous prescris, et vous n’en retrancherez rien ; pour garder les commandements de YHVH, votre Élohim, tels que je vous les prescris. » (De. 4:1-2)
 
Immédiatement il cite pour exemple ce qui advint de ceux qui se prostituèrent à Baal Péor et qui moururent. Quant à ceux qui restèrent fidèles à YHVH, ils restèrent vivants. Le principe est dès lors démonstratif et bien clair : la vie et la possession du Royaume sont attachées à l’obéissance. La mort est attachée à la séduction subtile, à la prostitution spirituelle, c'est-àdire à l’abandon du vrai Élohim, et suivie de toutes les dérives comportementales qui s’y rattachent.
 
Néanmoins, pour les croyants agacés par les « commandements d’Élohim » décrétés comme trop « ancien testament », obsolètes, et qui seraient supprimés par la seule spiritualité, la question se pose : si le royaume d’Israël de l’époque biblique devait se pérenniser par la condition de l’observance des commandements divins, qu’en sera-t-il du prochain et définitif Royaume sur terre ? Aurons-nous affaire à un Royaume idyllique où tous les sujets sont tout aussi définitivement « parfaits » ou y aura-t-il encore des lois et des règles à respecter et à faire respecter ?
 
« Il n’y aura plus ni enfants ni vieillards qui n’accomplissent leurs jours ; car celui qui mourra à cent ans sera jeune, et le pécheur âgé de cent ans sera maudit. » (Is. 65:20)   Nous notons que la mort prématurée à 100 ans, est relative au péché : le rejet des règles élémentaires de vie, le rejet des actions harmonieuses pour l’environnement, le rejet du bon rapport aux autres et à Elohim… Ceci confirme que le Royaume n’est pas une uniformité de comportement, mais un environnement où l’adversaire est en incapacité d’influencer les masses, quant-aux individus il semblerait qu’ils soient toujours soumis à leur conscience et leur libre arbitre, jusqu’à la possible rébellion. 
 
Comme à l’époque de Moshéh, le monde qui « entrera » dans le Royaume promis aura besoin de saines et saintes directives. Les lois et les règlements associés seront encore nécessaires. Mais les lois ne seront plus, comme les lois humaines actuelles, sujettes à interprétations pour pouvoir mieux les rendre inopérantes ou les contourner.  
 
« Des peuples s’y rendront en foule, et diront : Venez, et montons à la montagne de YHVH, à la maison de l’Élohim de Jacob, afin qu’IL nous enseigne ses voies, et que nous marchions dans ses sentiers. Car de Sion sortira la loi, et de Jérusalem la parole de YHVH » (Is. 2:3)
 
Ceci sans rien y ajouter, sans rien y retrancher pour les « amender » comme c’est de coutume dans le monde politique des assemblées parlementaires au regard des lois des nations. Les lois du Royaume seront inaltérables, supérieurement empreintes de sagesse ; la justice et la paix n’en seront que mieux assurées. La loi sera la même pour tous les peuples, car ell émanera de Jérusalem où siégeront les « Saints du Seigneur » désignés par le Roi pour jugergouverner le tout Israël et les nations.
 
La Loi et les règles qui sortiront de Jérusalem seront reconnues comme « étonnantes » de sagesse, d’intelligence et de justice, véritablement différentes de tout ce que les nations ont pu élaborer au cours des siècles. Cette grandeur d’Élohim est aussi prophétisée par Moshéh, la prophétie énoncée n’intéressant pas seulement le royaume d’Israël de l’antiquité, mais également le futur Royaume terrestre.
 
« Vous les observerez et vous les mettrez en pratique ; car ce sera là votre sagesse et votre intelligence aux yeux des peuples, qui entendront parler de toutes ces lois et qui diront : Cette grande nation est un peuple absolument sage et intelligent ! (….) Et quelle est la grande nation qui ait des lois et des ordonnances justes, comme toute cette loi que je vous présente aujourd’hui ? » (De. 4:6-8 )
 
Malgré un résidu de pécheurs, les hommes vivant alors en paix seront majoritairement pénétrés de la « Loi du Messie » qui dépasse les seuls décrets de règle de vie, de relation avec Élohim et de relation au prochain. Les règles de fonctionnement organisationnel, qui permettront la « bonne économie » entre les peuples, seront accueillies et respectées avec empressement.
 
En effet la transcendance des « lois », telle que le Seigneur l’a enseignée, sera comprise dans sa nécessité dans les cœurs, car Il dit pour exemple : 
 
« Car je vous dis que, si votre justice ne surpasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez point dans le royaume des cieux. Vous avez ouï qu’il a été dit aux anciens, Tu ne tueras pas ; et quiconque tuera, sera passible du jugement. Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère légèrement contre son frère sera passible du jugement ; et quiconque dira à son frère, Raca, sera passible du jugement du sanhédrin ; et quiconque dira fou, sera passible de la géhenne du feu. (…) Vous avez ouï qu’il a été dit, Tu ne commettras pas adultère. Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter, a déjà commis adultère avec elle dans son cœur. » (Mt. 5:20-28)
 
De la même façon que le Seigneur a, par l’acte de Golgoltha, transcendé le sacerdoce, il en sera de même pour toute la Torah, quand la Torah vivante, Yéshoua, sera enfin inscrite dans les cœurs.
 
Aucune représentation d’Élohim
 
La mise en garde contre toutes tentations de modéliser, fabriquer ou adopter une quelconque représentation d’Élohim est réitérée à plusieurs endroits de la parachah et sur plusieurs versets. Il s’agit dans un premier temps d’image - « thémounah » en hébreu - que tout Israélite pourrait se faire de son Élohim YHVH. L’interdiction est péremptoire, car toute représentation matérielle, statue de pierre, de bois, ou également d’image dans le sens d’imaginaire, c'està-dire cérébrale, tout cela est prohibé. Aucune pensée, et encore moins aucune projection matérialisée de la pensée humaine ne peuvent circonscrire, définir, Élohim sans l’abaisser à la notion d’homme ou d’animaux. Une personnalisation, qu’elle soit humaine ou animale, est une profanation du sacré ; c’est une abomination. Cette éventualité était en conséquence formellement interdite à Israël. Seules les nations idolâtres, soumises aux forces inférieures spirituelles ou de la nature, se permettaient de représenter ce qu’elles vénéraient. L’Élohim d’Israël YHVH par son messager (ange) n’intervenait tangiblement que par des manifestations du céleste ou par des hommes appelés « messagers ». 
 
Messager, selon le terme générique hébreu : Kalm [Malakh] ou le terme grec : aggelos   [angélos]. Ces deux termes signifient : messager.  Malencontreusement la majorité des traductions rend ces mots par « ange », ange est un mot obtenu par une adaptation du mot grec d’origine, ce qui modifie le sens réel du terme, messager. La vénération des objets célestes comme terrestres, qui procèdent de la création, relève du domaine de l’idolâtrie.  Le mot « idole » utilisé en français vient du grec [éidolon] dont les traductions sont : simulacre, fantôme, fantômes des morts, image, portrait, image conçue dans l’esprit, d’où imagination. (Dict. Bailly)
 
La notion est suffisamment claire pour comprendre que toute tentative pour définir la structure du divin est définitivement désobéissance et profanation, y compris si l’image conçue n’est qu’une définition cérébrale, soit disant spirituelle. Les hommes de NicéeConstantinople (325) n’ont pas hésité à franchir l’interdiction.
 
Détruire les idoles et chasser les peuplades idolâtres
 
Voilà bien encore une recommandation instante faite à Israël : ne pas contracter d’alliance avec les peuples idolâtres (s’adonnant à d’autres dieux) occupant le territoire promis. Au contraire il est dit que le Seigneur ferait en sorte qu’ils soient livrés entre les mains d’Israël qui ne devra avoir de cesse de les chasser, et surtout de détruire tout ce qui a rapport avec leurs cultes idolâtres. Cette mesure extrême permettrait d’enlever toute souillure du pays, y compris les souillures de la seule présence de civilisation au mode de vie idolâtre, pour éviter qu’Israël soit en contact et contaminé, ne serait-ce que par les anodines habitudes de ces peuplades. Évidemment cela excluait également les relations conjugales mixtes. Transiger ou faire preuve de tolérance à ce sujet ne pourrait que générer des problèmes de cohabitation, de dérives morales et de confusion spirituelle. D’autant plus que ces populations se révèleraient être des ennemis à l’intérieur même des frontières du pays. Nous ne pouvons que constater qu’au XXIe siècle ce « cliché » est toujours d’actualité.
 
La recommandation qui s’énonce comme un ordre est vue de nos jours, comme un extrémisme dangereux contraire à la pensée unique de l’humanitarisme devenu « politiquement correct » autant chez les laïcs que chez les religieux. C’est bien à ce dilemme que l’État d’Israël moderne se confronte dans sa recherche « hyper démocratique » d’une solution de paix. Passer des accords pour tendre à vivre en bonne intelligence avec les peuplades ayant investi la terre d’Israël, jusqu’à les admettre comme députés au parlement (Knesset), céder des territoires de l’héritage à leurs pires ennemis pour espérer le calme … ces initiatives pourraient être efficaces pour d’autres nations mais pas pour Israël. Ces initiatives, parfois extorquées diplomatiquement à Israël, louables a priori aux yeux des hommes, sont pourtant vouées à l’échec, car elles s’opposent à la Parole : « tu ne concluras pas d’alliance avec elles et tu ne leur feras pas grâce » 7 :3, c'est-à-dire ni largesse, ni compromis, dans tout ce qui intéresse Éréts Israël. Bien sûr, nous ne sommes plus aujourd’hui face à l’État d’Israël cher à Ben Gourion qui arguait « l’idéal des prophètes » et l’Israël étatique moderne ne présente pas les caractéristiques spirituelles nécessaires pour prendre possession de l’héritage. Nous attendons encore des évolutions prophétiques importantes qui permettront la pleine réalisation de la vision divine exposée par Moshéh il y a 3500 ans.  Jusque-là, restons attachés à l’intercession auprès du trône de la grâce, pour que le Souffle de grâce et de supplication atteigne pleinement les « habitants de Jérusalem » (Za. 12)
 
Vienne le jour du Messie, où les symboles comme le croissant lunaire, œil d’Horus, et autres statues mariales et de saints de toutes origines, seront réduits à l’oubli en Israël … et sur toute la planète, car les « esprits » qui se cachent derrière ces expressions seront vaincus, comme le furent les faux-dieux de l’Égypte sous Moshéh.
 
Shabbat Shalom véshavoua tov

PAR BLOG KEHILA VU PAR OMADI LE MESSAGER